Backrooms Descent : test du jeu d’horreur sensation sur mobile

Test du jeu mobile horrifique Backrooms Descent, réalisé par Sushi Studios. Les fans des Backrooms devraient l'apprécier !

Après mon test sur Bird Alone, j’avais très envie de vous présenter un genre de jeux que je n‘avais pas encore couvert dans mes articles : un eroga un jeu d’horreur ! Mon choix s’est porté sur Backrooms Descent, un jeu mobile horrifique publié en 2022 et développé par Sushi Studios, un studio qui en est apparemment qu’à ses débuts. Il semble que l’équipe a publié son premier jeu, Paranormal Horror: Evil Boss, en 2022 également. Là aussi, il s’agit d’un jeu mobile d’horreur. Cependant, avant de commencer notre test de Backrooms Descent (iOS et Android), il faut savoir que le jeu se base sur un univers particulier né et développé sur Internet. Cet univers, c’est celui desdites Backrooms. Peut-être avez-vous déjà vu passer ce terme sur la toile sans savoir de quoi il s’agit exactement… Ou peut-être n’êtes-vous pas du tout familier avec ce nom ? Dans tous les cas, pas de panique, nous allons découvrir ensemble cet univers étrange dans les lignes qui suivent.

Pour comprendre le test : les Backrooms, c’est quoi ?

Les Backrooms, c’est une creepypasta créée en 2019. Si vous n’êtes pas familier avec le terme, une creepypasta désigne une légende urbaine née sur Internet. Ces légendes peuvent comporter — mais ce n’est pas obligatoire —, un rapport avec la technologie dans leur intrigue. Parmi les plus célèbres d’entre elles, nous pouvons citer :

  • Des tueurs en série comme Jeff the Killer,
  • Des créatures telles que le Slenderman,
  • Des histoires de jeux vidéo maudits (Ben Drowned sur Zelda, le syndrome de Lavanville dans Pokémon ou encore Sonic.exe).

Mais back to the Backrooms. En mai 2019, un utilisateur de la plateforme d’hébergement d’images 4chan poste une demande sur le canal paranormal /x/. Il invite les autres utilisateurs à publier des images étranges et inquiétantes (post disquieting images that just feel ‘off’). Un autre utilisateur de la plateforme télécharge alors la photographie d’un espace composé de pièces vides et reliées entre elles, moquette au sol et papier-peint jaune à motifs sur les murs, le tout éclairé par des néons blancs. 

Un troisième utilisateur entre alors en jeu. Celui-ci va légender la photographie d’une bien étrange histoire : si par malheur, vous « noclippez » de la réalité (c’est-à-dire que vous passez au travers d’un mur ou du sol, comme le mode noclip d’un jeu vidéo), vous atterrissez alors dans les backrooms. Dans celles-ci, vous ne trouverez rien d’autres que « l’odeur du vieux tapis humide, le bourdonnement sans fin des néons, et approximativement 9 milliards de kilomètres carrés de salles vides disposées aléatoirement dans lesquelles se perdre ». Et, conclut la légende : « Que Dieu vous garde si jamais vous entendez quelque chose non loin de vous, car cette chose vous a sûrement entendu également »… L’histoire des Backrooms était née.

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Le post originel qui a amené à la création des Backrooms.

Depuis lors, la creepypasta a gagné en popularité sur Internet. Les fans des Backrooms se sont pris au jeu de développer cet univers. Ainsi, de nouveaux niveaux infinis ont été ajoutés à celui au papier-peint jaunâtre, connu depuis comme le niveau 0. Initialement, deux autres niveaux avaient été rajoutés : le niveau 1 (donc 2), sorte de parking sous-terrain, et le niveau 2 (donc 3, faites un effort), semblable à un tunnel de maintenance parcouru par des tuyaux.

De plus, les fans ont décrété qu’il existait divers moyens de passer d’un niveau à l’autre, notamment via des portes « Exit » comme nous pouvons en retrouver dans n’importe quel bâtiment public. En outre, il serait éventuellement possible de s’échapper des Backrooms pour retourner dans notre réalité. Du moins, pour les chanceux, les autres étant condamnés à périr dans ces espaces infinis.

Aujourd’hui, l’univers s’est considérablement étendu. Non seulement de nombreux autres niveaux ont été ajoutés, mais un Wiki Backrooms assez complet qui régit les lois des Backrooms est consultable à tout moment. Quelles créatures se trouvent dans quels niveaux, quel est le degré de danger selon les endroits et les créatures, comment passer d’un niveau à l’autre ? Ce dernier vous dit tout. 

Maintenant que le contexte a été mis en place, nous allons pouvoir passer au test du jeu mobile horrifique Backrooms Descent à proprement parler. 

Test de Backrooms Descent : un jeu passe-muraille

Le jeu se joue en vue subjective à la première personne. L’histoire débute de manière simple mais efficace. Vous êtes parent, et le berceau de votre bébé se trouve dans votre chambre à coucher. Celui-ci vous réveille en pleine nuit. Pensant qu’il pourrait avoir faim, vous décidez de vous rendre dans la cuisine afin d’aller lui chercher quelque chose. Et là, c’est le drame. Vous « noclippez » du plancher et vous retrouvez dans le premier niveau (le 0, si vous avez été attentifs). Le but sera donc de vous échapper des Backrooms afin de retourner dans la réalité et rejoindre votre famille.

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Le but sera de trouver les portes Exit. La lampe de poche ne sera pas de trop !

Pour ce faire, il vous faudra explorer les trois premiers niveaux en trouvant les sorties Exit qui vous permettront de passer de l’un à l’autre des étages. Pour vous aider dans votre quête, une lampe de poche vous est proposée en début de partie. Celle-ci n’est cependant pas infinie : les piles se déchargent, et mieux vaut ne pas tomber à court de jus en plein milieu d’un passage sombre…

Durant votre exploration, vous pourrez ramasser des items dans les couloirs : des piles pour la lampe de poche, et des canettes d’eau d’amande (Almond water), une boisson trouvable dans les backrooms selon le lore. Celle-ci vous aidera à regagner de la vie en cas d’attaque. Vous pouvez cependant regarder une publicité pour recharger les piles et regagner de la vie, mais le jeu est tout de suite plus compliqué si vous tentez de vous débrouiller sans.

Je parle d’attaque car vous ne serez pas seuls dans les niveaux labyrinthiques. Des créatures rôdent, et autant vous le dire, elles ne sont pas bienveillantes. Au cours de mes explorations, j’ai rencontré au moins 4 monstres différents. Un élément important à préciser à ce sujet : Backrooms Descent n’est pas Resident Evil. Pas d’armes lourdes pour vous défendre. L’expérience sera plutôt celle d’un « jeu de victimes », comme les joueurs les appellent parfois. Cela signifie que vous ne pourrez pas vous battre directement avec les créatures. Votre seule défense sera la fuite.

À noter qu’une sorte de radar est également disponible pendant un court laps de temps si vous regardez une publicité. Celui-ci vous permet de repérer si des entités se trouvent près de vous pour tenter de les contourner.

Enfin, question maniabilité : vos petits pouces musclés vous serviront à avancer et tourner, ou bouger la vue. Des boutons s’affichent à l’écran pour la lampe de poche, pareil lorsque vous vous baissez ou courez. Appuyer une fois sur ces boutons déclenche l’action, et taper dessus une seconde fois l’annule.

Backrooms Descent : du négatif comme du positif

Petite anecdote concernant ce test de Backrooms Descent : contrairement à mes précédents articles, j’ai eu l’occasion de faire jouer certains de mes amis, durant une fête. J’ai donc pu recueillir leurs avis en plus d’avoir testé ce jeu par moi-même (coucou Lucie, Thibaut, Sofia et Amandine). Le groupe qui l’a testé est constitué de joueurs occasionnels, qui a donc quelque peu l’habitude avec les jeux vidéo.

Personnellement, je trouve que Backrooms Descent est plutôt un bon jeu mobile, même s’il n’est pas exempt de défauts. J’aurais cependant tendance à être indulgente vu que Sushi Studios est apparemment un studio débutant. De plus, le jeu est gratuit. Contrairement à un jeu AAA à 60 euros, la déception est donc somme toute relative si le jeu ne vous plaît pas. Mais du coup, quels sont les défauts rencontrés en cours de partie ?

Tout d’abord, bien que le design des lieux soit plutôt réussi, l’apparence des monstres en elle-même aurait sans doute pu être quelque peu améliorée. Celle-ci me rappelle les graphismes de la PlayStation 1. Remarquez que si vous êtes fan des graphismes rétros, ce n’est pas mal. Mais sans vouloir remettre en cause le travail du studio, je pense sincèrement qu’ils étaient capables de mieux faire concernant le design des créatures. 

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Les créatures sont un peu moches, mais pas vraiment dans le bon sens.

J’ai également pu remarquer quelques bugs par-ci, par-là. Par exemple, il arrive que le jeu crashe et que vous soyez obligés de le relancer, ou que l’intelligence artificielle des créatures les bloque dans un mur. Notons cependant que ces petits problèmes techniques sont restés assez rares et que Sushi Studios travaille sur l’amélioration technique du jeu. La dernière mise à jour date d’ailleurs de juin 2022.  

Un autre défaut : quand vous êtes connectés à Internet, le jeu lance trop de publicités. Alors, soyons clairs : je comprends tout à fait que pour un petit studio qui publie un jeu gratuit, le recours aux publicités peut se révéler nécessaire. Mais pour être honnête, le fait que des publicités poppent toutes les vingt secondes peut vite se révéler assez désagréable. Cependant, une solution très simple pour ce problème existe : couper la connexion Internet, surtout si vous jouez sans l’aide du radar.

Enfin, un dernier élément qui pourrait en décevoir quelques-uns : le jeu ne dispose pas de système de sauvegarde. Impossible donc d’explorer, puis de quitter et de revenir plus tard, vous devrez tout recommencer depuis le début. En sachant que les explorations peuvent devenir assez longues, vous pourriez vous sentir frustré de vous retrouver au point de départ sans avoir compris par où aller pour atteindre le niveau suivant.

Avec les défauts cités ci-dessus, vous pourriez peut-être croire que Backrooms Descent est un mauvais jeu… Mais je trouve que c’est loin d’être le cas ! Selon moi, du positif vient compenser les côtés moins réussis.

Tout d’abord, même s’il n’y a pas énormément d’audio intégré au jeu,  j’ai trouvé que la musique de l’écran d’accueil est plutôt réussie et nous met tout de suite dans l’ambiance d’un jeu d’horreur. Durant la partie en elle-même, nous sommes sur un sound design plutôt minimaliste, mais qui correspond assez bien à ce qu’est censée être l’expérience des Backrooms : des bruits de pas, le bourdonnement des néons, etc. Ces deux sons aident à s’imprégner de l’ambiance oppressante et labyrinthique du jeu, comme l’a souligné mon amie Lucie :

(Petite note concernant les avis de mes amis : je n’ai bien entendu pas retranscrit leurs mots exacts, mais l’idée générale. Tout vient d’une conversation entre amis, pas d’entretiens enregistrés).


« Je trouve les bruits de pas flippants. En boucle, ça donne une atmosphère assez pesante. » Lucie


Certaines créatures possèdent également un cri. L’une d’elles, entre son hurlement et ses apparitions surprises, nous a d’ailleurs offert un bon jumspscare de groupe ! 


« Il a un cri très spécial, ça me fait penser à une tronçonneuse. Il fait peur quand il arrive par surprise comme ça. » Amandine


Notons également que des bruits étranges sortent parfois d’on ne sait où et viennent nous saisir durant notre exploration.

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 Le début du niveau 1. Ce serait facile d’y retrouver ma voiture, si j’en avais une.

Un autre point très positif : si vous êtes fan des Backrooms et que vous souhaitez tester un jeu basé sur ce qu’est censé être l’expérience de se faire piéger dans celles-ci, le jeu mobile Backrooms Descent est réellement à tenter ! Malgré les petits problèmes cités plus hauts, j’ai réellement apprécié le jeu. L’exploration, le fait de se perdre dans ces espaces labyrinthiques et pratiquement sans fin, le côté angoissant, etc. Tous ces éléments m’ont offert une bonne expérience de jeu. Enfin, notons que le jeu est disponible en plusieurs langues, dont le français ! La traduction n’est pas toujours parfaite, mais elle permettra aux non-anglophones de mieux comprendre le jeu ! 

Backrooms Descent : un jeu mobile pour les fans des Backrooms

Cependant, un élément important est à savoir. Sofia et Thibaut ont bien résumé la situation :


« Le jeu est cool, mais c’est un peu vide tout de même. On tourne assez en rond et au bout d’un moment, ça devient ennuyeux… En plus, j’aimerais trouver plus de piles. » Thibaut



« En fait, c’est un bon jeu pour les gens qui aiment déjà les Backrooms. Mais pour les autres, ça ne sera peut-être pas super captivant. » Sofia


Vous voilà donc prévenus : en soi, j’ai trouvé le jeu plutôt chouette. Mais il est important de garder en tête que le jeu se base sur l’univers des Backrooms. Et les Backrooms, bah concrètement, c’est parfois errer sans fin et trouver la porte de sortie un peu par hasard. En ce sens, le jeu mobile horrifique Backrooms Descent est à tester si vous êtes fan de l’univers ou que vous êtes curieux de le découvrir. Pour les autres, l’expérience ne se révèlera peut-être pas convaincante, en particulier si vous êtes fan de jeux d’horreur avec beaucoup d’action. Cependant, si vous appréciez l’exploration vidéoludique et les titres avec une ambiance angoissante, Backrooms Descent pourrait éventuellement vous plaire.

En résumé : si vous êtes fan de l’univers des Backrooms, le jeu mobile horrifique Backrooms Descent peut vraiment constituer une expérience intéressante ! Pour les autres, il pourrait vous plaire si vous appréciez les explorations et les jeux dégageant une ambiance malsaine. Les amateurs de jeux horrifiques avec plus d’action devront cependant passer leur tour. Mais si vous êtes tout de même curieux, le jeu est de toute manière gratuit. Encore merci à Lucie, Amandine, Sofia et Thibaut pour leurs avis !

La note de la rédaction
  • Graphismes - 6/10
    6/10
  • Sound Design - 7/10
    7/10
  • Atmosphère - 8/10
    8/10
  • Game Design - 7/10
    7/10

Les plus et les moins

✔︎ Fidèle à l’univers des Backrooms !
✔︎ Un sound design minimaliste mais plutôt efficace.
✔︎ Une ambiance angoissante et malsaine.

✘ Plutôt un jeu réservé à ceux qui sont fans de l’univers.
✘ Pas de sauvegarde.
✘ Quelques bugs présents.
✘ Les créatures sont mal modélisées.

7.0/10

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10 Responses

  1. Je n’ai pas de mobile , donc pour moi c’est déjà réglé ^^. C’est un jeu à la « Outlast  » si on a pas d’arme et qu’on ne peut que s’enfuir. Il a une grosse note pour un jeu sans possibilité de sauvegarder, plutôt vide, des crashs, des bugs….c’est la gratuiteté qui t’a rendue généreuse ^^ C’est leur début , alors on pardonne certaines choses ^^

    Décidement c’est l’année des jeux d’horreur , il y en a un paquet qui vont débarquer. J’en ai vu un avec leur game fest machin chose qu’il y a eu il n’y a pas longtemps, un truc bidule du genre, mais visuellement il était énorme, j’ai jamais vu un survival horror aussi beau, ça sent la flip à plein nez, l’ambiance à crise cardiaque à répétition, je ne sais pas sur quelle machine il sera destiné mais le peu que j’ai entrevu, je suis resté béa d’admiration par la réalisation. Celui-là s’il n’y a pas des décès de certains joueurs durant leur séance de jeu…..je ne comprends plus rien ^^

  2. Salut Stéphane !

    En effet, nous sommes sur le même type de mécaniques que pour Outlast : pas d’armes pour se défendre, seulement la fuite. J’ai souvent entendu l’expression « jeu de victime », mais je ne sais pas à quel point le terme est populaire (ou pas) ^^

    Concernant la note : franchement, malgré les problèmes, je n’ai pas trouvé que c’était un mauvais jeu. Je ne lui mets pas plus que 7 (du moins, dans l’état présent) mais je ne pense pas qu’il mérite une note inférieure à la moyenne non plus. Cependant, ça reste un jeu sur les Backrooms. Je conçois donc tout à fait que les non-fans puissent trouver le jeu ennuyeux et lui attribuer moins. Mais en tant que fan, j’ai trouvé l’expérience globale assez chouette 🙂

    (Bon après, il est vrai aussi que je me montre plus conciliante avec un jeune studio qui propose un jeu gratuit qu’avec un studio expérimenté qui ferait payer son jeu ^^).

    Concernant le jeu que tu mentionnes, est-ce que c’était Routine par hasard ? 🙂 J’avais vu la BA, il avait l’ait vraiment bien !

    1. Non ce n’est pas Routine, c’est 1.000 fois plus gore et flippant. C’est « ill » pas de date de sortie, sur pc, à voir sur console, ce sont des indépendants, il a eut du soutien participatif etc, alors lui s’il ne trouve pas des aides. Le jeu est juste bluffant à flipper sa race ^^ quand tu vois les décors, l’ambiance, ça a été fait avec amour ^^.

      C’est la summer game fest, et 13 ‘survival horror » pour 2022. Il tourne avec le moteur unreal engine 5, si tous les jeux fonctionnent avec ce moteur, on va avoir des jeux de fou.

  3. C’est sympa l’idée de recueillir les témoignages de tes amis 😉 Perso je ne connaissais pas du tout les Backrooms, du coup tout ton article est une découverte pour moi !

    1. Merci pour ton commentaire ! 🙂 Et oui, j’ai beaucoup aimé le tester avec mes amis. Cela permet d’avoir des avis et points de vue différents 🙂

  4. C’est très original d’avoir fait un jeu basé sur les Backrooms ! J’ai découvert le concept il y a quelques temps, je trouve ça à la fois assez angoissant mais très intéressant aussi, un peu comme les SCP. C’est fou comme les creepypastas peuvent autant mettre mal à l’aise par ailleurs. Je me laisserai peut-être tenter par curiosité, pour essayer, même si c’est dommage qu’il n’y ait pas de sauvegarde. Reprendre ce concept, c’est quand même assez sympa, et ça se prête très bien au jeu vidéo côté immersion pour le coup.

    1. Si l’univers des Backrooms te plaît, je te conseille vraiment de jeter un coup d’œil au jeu ! 🙂

      C’est vrai que c’est dommage pour l’absence de sauvegarde, mais ça peut aussi être intéressant de le tester en une seule fois. Cela rend l’expérience de survie plus « réaliste », si je puis dire. Bon par contre, c’est sûr qu’il vaut mieux avoir quelques heures devant soi parce que ça peut prendre du temps de trouver les portes Exit. Et quand tu ne sais pas au départ qu’il n’y a pas de sauvegarde, quand tu relances et que tu dois tout recommencer, ça pique un peu ^^’

      Pour info : ici j’ai testé un jeu mobile vu que c’est ma « spécialité » pour le site, mais il existe également des jeux Backrooms sur Steam. Si jamais toi et d’autres avez envie de découvrir 🙂

    1. Cela dépend de si on se perd ou pas, je dirais ^^ Si tu sais précisément où aller pour passer aux niveaux suivants, tu peux le terminer en à-peu-près 1h. Mais si tu te perds complètement dans les Backrooms (ce qui risque fortement d’arriver, surtout si tu testes le jeu pour la première fois), tu peux passer plusieurs heures rien que sur le premier niveau 🙂

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