Elle vous paraît loin, l’époque du Club Dorothée ? Quoi de mieux qu’un jeu vidéo pour vous remémorer les frissons ressentis devant les animés diffusés sur TF1 ? Après Dragon Ball Z: Kakarot, Bandai Namco nous régale encore une fois avec un tout nouveau jeu, sous la licence de Olive et Tom : Captain Tsubasa. Développé par le studio japonais Tamsoft (Neptunia), ce nouveau jeu de foot arcade est sorti le 27 août 2020 sur PlayStation 4, Nintendo Switch et PC. Vous le trouverez entre 50 € et 60 € selon la plateforme que vous préférez. Merci à Bandai Namco pour le jeu en édition presse ! Le coup d’envoi est lancé, je vous propose mon test de Captain Tsubasa: Rise of New Champions sur PS4 Pro.
La fin de la Coupe du monde, le début d’un jeu
L’épisode 31 de l’animé Olive et Tom nous dévoile enfin l’issue de la finale de la Coupe du monde junior du Japon contre l’Allemagne. Après trois épisodes sous tension, c’est sans surprise qu’Olivier effectue une bicyclette aussi belle que la frappe de Pavard, en pleine lucarne, et égalise face à l’équipe adverse juste avant le coup de sifflet final. C’est donc sur le score de 2 partout que l’affrontement se termine ; impossible de départager les deux formations… Frustrant, n’est-ce pas ? Mais soyez rassuré ! Le jeu Captain Tsubasa nous offre l’opportunité de rejouer le match, et donc de profiter d’un scénario moins capillotracté. D’ailleurs, c’est au coup d’envoi du match que commence le mode histoire du jeu.
Test de Captain Tsubasa : l’histoire d’une légende
Le mode Tsubasa se réfère au mode histoire du jeu. Et c’est avec une agréable surprise que j’ai découvert le doublage en version japonaise lors de mon test de Captain Tsubasa. Personnellement, dès que je le peux, je préfère regarder ou jouer en VOST pour avoir une meilleure immersion. Une fois le premier match terminé, on accompagne la star mondiale Tsubasa Ohzora tout au long de sa carrière, et ce jusqu’au dernier match de l’animé Captain Tsubasa : Le Retour, de 2001. Cependant, bien que l’ambiance du jeu soit fun, il y a vraiment beaucoup de blabla. On ressent réellement l’envie des développeurs de scénariser l’ensemble et de s’éloigner d’un simple jeu de foot, mais cela peut aussi leur faire défaut. Pour des raisons évidentes, les matchs sont eux aussi scénarisés afin de rester fidèles à l’animé original. Les matchs auxquels vous prenez part se terminent uniquement lors d’un but marqué ou d’un résultat similaire à l’histoire. Après quelque temps en match, si le score exact du scénario ne parvient pas à s’afficher au compteur, l’IA se charge de marquer contre vous et il vous faudra recommencer le match depuis le début ; vous n’aurez pas d’autres alternatives.
Épisode Nouveau Héros : l’essentiel du titre
En attaquant ce second épisode, on découvre le réel intérêt de Captain Tsubasa: Rise of New Champions. C’est ici que l’on débloque les équipes nationales pour le mode local. De plus, on peut créer son propre joueur à l’instar du mode Carrière des derniers FIFA. On peut modifier l’aspect physique de notre personnage : des traits du visage au style de maillot en passant par la coupe de cheveux, il est même possible d’ajouter une paire de lunettes de soleil (pratique pour courir sur le terrain !). Après avoir passé deux heures à créer notre avatar, on aura le choix entre trois équipes : Toho, Musashi et Furano, dans le but d’intégrer la sélection nationale du Japon dans les mois à venir. Chacun de ces trois choix proposera évidemment des scénarios différents. Une fois intégré dans une équipe, il faudra bien s’entendre avec nos coéquipiers : jouer correctement les jours de match pour monter nos statistiques (vitesse, puissance, etc…) et débloquer les compétences (tirs ou tacles spéciaux) pour créer notre propre style de jeu. Tant que la victoire n’est pas acquise, il faudra recommencer encore et encore. Cependant, ce mode de jeu n’est pas non plus exempt de tout défaut. Ici aussi, le rythme est cassé par les nombreuses cinématiques et dialogues qui tirent en longueur.
Olive et Tom, ils sont toujours en forme
Entrons dans le vif du sujet, parce qu’après tout, c’est un jeu de football ! Ici, ne vous attendez pas à être assisté dans vos actions, que ce soit dans vos passes ou dans vos déplacements, à contrario des jeux de foot récents. Le titre ne cherche pas à se comparer à FIFA ou PES : un nouveau style de jeu propre à Captain Tsubasa s’offre à vous. Tout est très arcade et rigide : une fois la manette en main, on retourne à l’époque de FIFA 98 sur PlayStation 1. Il faut s’y faire, mais les ajouts de gameplay trouvés par les développeurs s’y intègrent parfaitement bien. Par exemple, les joueurs n’ont pas de barre de fatigue, mais une jauge de points d’actions qui se réduit à chaque dribble, arrêt ou tir du joueur. Une fois l’action terminée, cette barre se recharge rapidement. Grâce à ce système de jeu, l’action ne s’arrête jamais.
Il n’y a aucun arbitre pour arrêter le match après un tacle digne des plus grands moments de catch. On passe la balle, on dribble subtilement, on charge sa frappe, et on effectue le « tir spécial » de notre joueur. Par ailleurs, mention spéciale aux animations des tirs qui nous replongent directement dans l’animé. Les gardiens de but sont de vrais murs, mais à force de frapper, ils faiblissent, et les buts s’enchaînent bien plus facilement. Après plusieurs actions réussies avec succès, vous pourrez activer la Zone V, qui boostera votre équipe pendant quelques secondes, ce qui vous permettra de prendre un certain avantage sur l’adversaire.
Tamsoft nous surprend ici avec son adaptation de Captain Tsubasa. Je ne vais pas passer par quatre chemins : J’ai beaucoup aimé effectuer ce test de Captain Tsubasa sur PS4 Pro ! On ne peut malheureusement pas faire de captures en plein match, donc je vous invite a découvrir du gameplay sur Twitch. Nous avons enfin une alternative agréable aux autres jeux de foot annuels qui n’apportent finalement que très peu de nouveauté, à tous les niveaux. L’ambiance, les animations et l’impression de terrain gigantesque sont des paris gagnants qui lient parfaitement le jeu Captain Tsubasa à l’animé original. Certes, les dialogues sont très (trop) présents, mais c’est justement cela qui le rend unique : la narration. N’étant pas réellement cliente des jeux de sports en tout genre, c’est avec plaisir que je sortirai une seconde manette lors d’une soirée entre amis. Je tiens à remercier encore une fois Bandai Namco qui a accepté de m’envoyer une édition presse afin de tester ce petit bijou. Le coup de sifflet final retentit, on rentre au vestiaire, on déchausse nos crampons et on se retrouve à l’occasion d’un autre test sur JSUG.com. Les temps forts du match ✔︎ Fan service : intégralité de la licence dans le jeu. ✘ Beaucoup trop de dialogues.La note de la rédaction
✔︎ Vraie bonne alternative aux jeux de foot.
✔︎ Style de jeu arcade, ce qui simplifie le gameplay.
✔︎ Pas de fautes = pas de pause en plein match.
✔︎ Graphismes propres sans trop d'aliasing.
✘ Répétitif comme un jeu de foot.
✘ Matchs scénarisés dans le mode Tsubasa.
✘ Pas de choix de difficulté dans les modes.
3 Responses
C’est sur la 5 qu’est apparu pour la première fois en France, olive et tom, chaîne qui a disparue, c’est plus vieux que tu ne le penses ce manga, j’avais moins de 12 ans quand je l’ai vu. J’allais tous les matins chercher un copain pour aller à l’école et comme il n’était jamais prêt, la tv était allumée, vers 7h50-8h du matin, et c’est là que j’ai vu ce dessin animé magique et après il est arrivé au club dorothée mais assez tard quand même.
Le tir à deux en même temps, je l’ai réussi avec un ami, une fois parce que c’était super dur d’être syncro ,par contre on ne troue pas les filets mais le gardien lui s’enfonce réellement dans les filets. La catapulte infernale, on la fait mais on a vite arrêté parce que celui qui était en dessous, se prenait tout dans le bide, quand on rate son coup, forcément on atterri dessus et ça fait vachement mal mdr. Le coup de la feuille morte, ça marche aussi, réussi une fois, c’est réel, il faut vraiment mettre tout son corps en arrière, tout tendu au maximum , remettre tout le poids du corps en avant et faire un effet avec le bout du pied et la balle monte très haut en l’air et d’un coup retombe comme une feuille. Le tir de marc landers aussi contre le mur, sauf que le mur ne se démolit pas mais la balle explose vraiment, ben tu mets toute ta force dedans et ça pète, la chambre à air finit par éclater.Ce que j’ai fait le plus c’est Ed Warner, pas une balle ne passait , j’étais imbattable.
On a joué à olive et tom, de temps en temps quand on allait jouer au foot. Et c’est géniale parce que maintenant sur le net , tu sais trouver les tenues de foot des équipes du dessin animé. J’aurais eu ça enfant, j’aurais été trop content. Surtout celle de Warner et maintenant elle existe, je l’ai vue, trop belle, celle de landers aussi, y a aussi celle de la Mambo.
Le truc que je me dis, c’est qu’une fois tous les tirs que l’on connait, ça doit devenir répétitif . Après je me doute qu’il est fidèle à l’animé…pour marquer un but il faut 10 épisodes pour traverser le terrain.
Je trouvais que c’était un manga de foot qui dégageait des valeurs, être combatif, se dépasser malgré la douleur, un esprit d’équipe est plus fort que d’être personnel. Il y avait une émotion dans ce manga, travailler dur pour devenir le meilleur. C’était l’un de mes préféré…ne jamais abandonner tant que le coup de sifflet finale ne retentit pas.
J’ai une chanson du générique plus originale, c’est olive et tom ne sont jamais en forme, tom , olivier ne se sont jamais entraîner mdr
Jeu qui peut être plaisant à faire mais pas à ce prix là !
J’avais joué à la version japonaise du jeu ps2 qui était plus ou moins le même jeu au final ! Il y a des épisodes du bazar du grenier qui portent sur ce jeu ps2 d’ailleurs !
J’avais apprécié le jeu ps2 donc je pense que celui ci devrait me convenir aussi !
A voir quand le prix aura baissé !
Très clairement, c’est un jeu qui serait cool à 35-40 euros !