Test de Forspoken sur PS5 : le jeu qui dé-Frey la chronique…

Vous aussi, vous aviez vu le line-up de la PS5 et baviez sur quelques titres, dont celui-ci ? Voici notre test de Forspoken !

Voilà le topo : j’suis en train d’aller au boulot en train, me trainant péniblement et fier de ne pas porter de training pour accomplir mon train-train quotidien. Loin de moi l’idée d’être un traine-misère, mais la SCNB (l’équivalent de la SNCF en Belgique) a encore du retard… Foutus traine-savates… Bref, et là, je pense au taf, à une fourchette et à mon chat. J’aime bien les chats. Et vous savez qui aime aussi les chats ? Frey ! La perso principale du jeu dont je vais vous parler aujourd’hui ! C’est parti pour un test de Forspoken sur PS5, développé par Luminous Productions, une filiale de Square Enix. Un grand merci à l’éditeur de nous avoir confié une version presse du jeu !

Test de Forspoken : tanta bien, tanta moyen

Le jeu débute par une scène d’exposition : notre avatar, Frey, est au tribunal et se fait rabrouer par la juge. Ce n’est pas la première fois qu’elle se fait choper pour un délit, mais la juge la prend en pitié et lui donne une peine de travaux d’intérêt général. On sort du tribunal et PAF, Frey se fait alpaguer par des voyous, forbans, sacripants et autres termes désuets. L’heure est à la fuite ! On l’a compris, c’est le moment tuto… Tuto particulièrement mal pensé, étant donné que les développeurs vous disent perpétuellement quoi faire dans le jeu par le biais de gros textes qui prennent la moitié de l’écran.

Frey
Il n’y a pas à dire, les graphismes ne vendent pas du rêve…

Une fois qu’on leur a échappé, Frey rentre chez elle, et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle n’a pas une vie facile. Il s’agit clairement d’un squat, elle ne possède rien si ce n’est trois paires de baskets et un chat, Homer. Elle vient de voler une belle quantité de petits billets verts aux gredins du début. Frey va se coucher, parle à son chat et s’endort en pleurant. À son réveil, son appart est en feu, et elle décide de sauver son chat avant les billets, et ça y est, elle a gagné mon cœur. De là, elle confie son chat à la juge du début, et se prépare à se jeter du haut d’un immeuble avant de repérer un joli bracelet à travers une fenêtre. Elle entre par effraction (idée passable quand on sort de chez la juge), l’enfile (le bracelet, pas la juge) et est téléportée dans un monde étrange : Athia.

Chat Forspoken
Mais il y a des chats !

Toujours plongé dans le didacticiel, on est introduit à la magie et à un monde plutôt hostile, étant donné que Frey se fait attaquer par un dragon immense, un blaireau mutant et un downgrade graphique assez vénère. Je venais de me faire opérer des yeux quelques jours avant ce test de Forspoken, du coup, je ne savais pas si le jeu était véritablement moche, ou si mes yeux étaient foutus pour toujours (véridique). Depuis, je me suis remis, et, à mon grand désarroi, les personnages de Forspoken ont toujours la même tronche.

Athia une minute !

C’est là le gros point noir du jeu : ses graphismes (ça pique après mon test de God of War Ragnarök). Ça, et la VF complètement éclatée au sol (j’ai dû passer le jeu en anglais). Je me souviens avoir bavé des heures devant les magnifiques images de la campagne publicitaire de la PS5 à ses débuts. Forspoken faisait partie du line-up annoncé pour cette nouvelle console incroyable. Mais quand j’ai commencé mon test de Forspoken, ça a été la douche froide. Les personnages, à part Frey, ont visiblement été modélisés par Guillaume Bats, et les décors font penser à un jeu en fin de vie de la PS3, et encore, pas le plus beau. Pour un acteur comme Square Enix, ce downgrade massif est difficilement excusable. Dans tous les tests et les avis que j’ai vu passer, j’avais l’impression que beaucoup de monde s’arrêtait à cela. On le sait, c’est la beauté intérieure qui compte, et l’univers du jeu s’avère très intéressant.

Test de Forspoken
 Les documents d’archives se présentent comme ça… Ça ne donne pas envie…

Le jeu se déroule donc dans le monde d’Athia, ravagé par un phénomène magique étrange : The Break en anglais, « La Brume » en français… Mouais… Seule reste une cité avec les derniers survivants, et le monde est dirigé par des sorcières très puissantes : les Tantas. Du coup, tout se déroule avec un point de chute (la ville de Cipal), et le reste des environnements en monde ouvert. Cet open world est fait à la Ubisoft, c’est-à-dire qu’on a de vastes étendues un peu vides avec plein de points d’intérêt, que l’on va devoir visiter pour gagner en expérience et en mana. L’impression qui en ressort est que les environnements sont pauvres et vides, ce qui s’explique partiellement par le gameplay du jeu : pour profiter véritablement des pouvoirs de Frey, il faut de la place. Il s’agit là clairement d’une occasion manquée, parce qu’on aurait pu avoir une belle narration environnementale dans l’univers d’Athia. J’aurais adoré visiter de vieilles bâtisses ou des ruines, qui m’auraient conté l’histoire du cataclysme qui a ravagé le monde…

Praenost
Praenost… C’est moche…

Visiblement, il y a du boulot derrière le world building ! On peut trouver énormément de documents d’archives, etc. qui nous racontent l’histoire du monde d’Athia, ses légendes, ses spécificités. Mais même comme ça, il est difficile de s’y plonger, tellement lesdits documents sont courts et laconiques. Je ne comprends pas ce qui les a empêchés de faire des livres à la Skyrim pour nous faire découvrir ce que l’univers de Forspoken a à nous offrir (peut-être parce qu’ils trouvaient ça mieux de nous faire payer un DLC, qui sortira au cours de l’été 2023, qui sait…).

Sexisme ordinaire et mépris de classe : la protagoniste en fait les Frey

On le sait, le monde du gaming est rempli de mépris à l’égard de beaucoup de monde, principalement à l’égard des femmes, mais je parviens toujours à être déçu. Lors de la sortie d’Horizon Forbidden West, une flopée de gameurs, qui n’ont sans doute jamais vu une femme de près, se sont offusqués du fait qu’Aloy avait de la barbe. Spoiler Alert : c’était du duvet. Bref, avec Frey dans Forspoken, on remet le couvert, mais avec un autre assaisonnement. Et ce n’est pas forcément réjouissant.

Test de Forspoken
Dans les collectibles, on peut acheter des jouets pour chat !

Dans de nombreux tests du jeu, ainsi que dans beaucoup d’avis laissés par les joueurs, il ressort que Frey n’est pas très appréciée voire détestée. Et pour cause, elle serait cringe, vulgaire, détestable, et j’en passe. Or, dès le début du jeu, il est clair que Frey ne fait pas partie de la frange aisée de la population new-yorkaise, au contraire : elle passe son temps dans les tribunaux, vit dans un squat, se débat quotidiennement avec des coupe-jarrets et n’a pas un rond. Ce niveau socioéconomique se perçoit par autre chose : son langage.

Test de Forspoken
Et là, on voit que ça aurait pu avoir de la gueule !

Frey n’est pas polie, c’est le moins que l’on puisse dire, et elle est toujours sur la défensive. Comprenez qu’elle ne passe pas son temps à sourire et à s’inquiéter pour les autres. De fait, quand la vie nous met des mandales quotidiennes, on a autre chose à foutre que de se mettre dans une gentille posture de care et de vouloir s’occuper affectueusement de tout le monde. Malheureusement pour elle, Frey est une femme, et pour des raisons obscures, beaucoup de gameurs semblent haïr la gente féminine. En outre, dans notre société, être une femme s’accompagne d’une montagne de stéréotypes et d’attendus sociétaux à la con, comme être polie, gentille, souriante, affectueuse, docile, et j’en passe.

Ainsi, on lit partout, comme dans le test de Forspoken de Carole Quintaine, par exemple, que Frey reste « une meuf assez vulgaire qui parle mal » dans un « univers censé être assez élégant » et que ça « ne colle pas du tout ». J’ai du mal à comprendre d’où vient cette idée que l’univers de Forspoken est assez élégant. Le monde d’Athia est ravagé, la majeure partie de la population est morte, bref, c’est la merde. De plus, la thématique du jeu est assez fréquente dans la pop culture pour que l’on ne s’en étonne pas… Dans les animés et mangas japonais, le genre Isekaï (le protagoniste est transporté dans un autre monde) met très souvent en scène un personnage d’un niveau socioéconomique bas et inadapté à la société, qui peut alors se refaire une vie dans un monde heroic-fantasyDois-je également rappeler que Square Enix et Luminous Productions sont des studios et éditeurs japonais ? Bref, ce sur quoi tout le monde tique relève d’un thème récurrent.

Test de Forspoken
Les effets des sorts sont hyper classes !

Les réactions de la protagoniste sont-elles vraiment étranges ? Est-ce que ça ne colle vraiment pas ? Frey débarque d’un New York où sa vie est un enfer, et arrive dans un monde où c’est encore pire : rien ne va, dès qu’on sort de la dernière ville, on se fait attaquer par des zombies et des blaireaux, et en plus, on lui met toute la responsabilité sur le dos. L’histoire se déroule dans un laps de temps assez court, elle ne change pas de statut socioéconomique, bref, il n’y a aucune raison pour Frey de se mettre subitement à avoir un langage châtié et à lever le petit doigt quand elle boit une tasse de thé. Mais visiblement, c’est considéré comme une faiblesse d’écriture, qui, s’il s’était s’agit d’un homme, n’aurait pas posé problème… Je prends pour preuve Dante dans Devil May Cry, grossier à souhait, mais étonnamment considéré comme un mec badass et non comme un petit con vulgaire.

Ce genre de phénomène est malheureusement assez fréquent, et pas que dans la fiction. De manière générale, les femmes subissent des biais de genre vis-à-vis de leurs comportements et leur manière de s’exprimer. Si elles s’affirment, sont agressives ou vulgaires, leur image en prend systématiquement un coup, et elles sont perçues comme désagréables. Ceci est un fait avéré, il suffit d’aller voir les recherches de Robin Lakoff, Tiffany Trzebiatowski, Courtney McCluney, Morela Hernandez et j’en passe pour s’en rendre compte. Bref, Frey appartenant à une frange socioéconomique basse et étant une femme, elle n’avait aucune chance face au monde macho, capitaliste et misogyne du gaming. Du coup, Frey est dorénavant l’un de mes personnages de jeu vidéo préférés !

Test de Forspoken : un gameplay chouette et Frey

Magie du feu Frey
L’impression de puissance est assez malade.

En dépit de toutes les faiblesses évoquées, ce test de Forspoken m’a quand même beaucoup plu. En effet, le gameplay est tout simplement incroyable. Frey dispose de pouvoirs élémentaires hyper puissants, de capacités de déplacement exaltantes, et les combats sont frénétiques. Tout se déroule au niveau des gâchettes : à gauche, ce sont les sorts dits de « soutien », et à droite, les attaques plus classiques.  et  servent à lancer les sorts, et et à les sélectionner. Au fur et à mesure du jeu, on obtient différentes magies élémentaires et des dizaines de pouvoirs qui vont avec. Ces sorts se débloquent par le biais de points de mana, que l’on récolte en explorant le monde de Forspoken, mais également en montant de niveau.

Si, au départ, n’avoir qu’une magie élémentaire n’est pas particulièrement grisant, une fois que l’on dispose des quatre magies (terre, eau, feu et électricité) et de plusieurs dizaines de sorts, les combats deviennent particulièrement intenses. On peut trouver des synergies particulièrement intéressantes une fois que l’on connait bien ses skills. Je dois quand même dire qu’il faut un peu de temps pour prendre le tout en main. De fait, la sélection des sorts se fait sur la base d’une roue assez classique, mais que l’on doit connaitre sur le bout des doigts. On ne devient véritablement efficace que lorsque l’on connait non seulement très bien l’effet de chaque sort, mais également leur place dans la roue.

Test de Forspoken
Les déplacements sont ultra jouissifs !

Les effets graphiques des sorts sont tout simplement incroyables ; on sent que c’est là que les développeurs ont tout donné. C’est bien simple, je n’ai jamais ressenti une impression de puissance aussi prononcée que durant mon test de Forspoken. La diversité des sorts empêche le gameplay de devenir trop répétitif. C’est plutôt du côté du contenu que le bât blesse un peu. Une fois l’histoire principale terminée (une quinzaine d’heures), ne restent que les points d’intérêt et les quêtes secondaires, appelées « détours ». Le contenu Endgame est pauvre. On a bien quelques ennemis très puissants à débusquer, mais l’écriture des détours ne vaut pas The Witcher 3 ou Horizon Forbidden West. Ça se limite à suivre des chats, à faire des allers-retours pour aller chercher des fleurs et des boites, et à faire une seconde visite guidée de la ville de Cipal (la première visite étant déjà chiante comme la mort).

Mais étonnamment, cela ne m’empêche pas de continuer à jouer et à me diriger tout doucement vers le platine du jeu. Je prends le temps de lire les documents d’archives, de chercher les ennemis puissants, et je continue de m’amuser. Mais je ne peux m’empêcher d’être triste. Forspoken est clairement une occasion manquée de créer une nouvelle franchise riche et passionnante pour Square Enix, la faute à un développement très « Square Enixien ». De fait, dans les détours, les dialogues, les interactions, l’exploration, on sent une grosse influence JRPG, qui n’est pas particulièrement compatible avec la manière dont le jeu a été marketé. Pour un jeu annoncé comme sublime et révolutionnaire, il manque énormément de travail pour respecter les promesses qui ont été faites.

Trop de sorts !
Il y a parfois un poil trop d’effets…

En conclusion, j’ai bien aimé réaliser ce test de Forspoken, même s’il a apporté son lot de déceptions. Graphiquement, je dois reconnaitre que le jeu donne l’impression d’être sur une PS3 en fin de vie, en particulier quand on regarde les environnements et les personnages… En revanche, les effets de particules et des sorts sont très réussis, et sont parvenus à me faire partiellement oublier la tronche des habitants d’Athia. Du reste, le jeu est tout simplement bluffant, les combats sont frénétiques, et j’espère que ce gameplay plutôt innovant va faire des émules. Du point de vue de l’histoire, elle est intéressante, mais racontée comme dans les dialogues in-game de la série des Final Fantasy, ce qui nous laisse sur notre faim.

La note de la rédaction
  • Graphismes - 4/10
    4/10
  • Bande-son - 6/10
    6/10
  • Gameplay - 9/10
    9/10
  • Scénario - 6/10
    6/10

Les plus et les moins

✔︎ Une nouvelle franchise.
✔︎ Un gameplay innovant et dynamique !
✔︎ Une héroïne comme on en voudrait dans chaque jeu !

✘ Des graphismes inacceptables.
✘ Une interface à la FF incompatible avec Forspoken.
✘ Un open-world à la qualité discutable...

6.3/10

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6 réponses

  1. C’est une sous branche de square enix, le visuel chez eux est souvent pas si terrible que ça, quand tu regardes bien les finals fantasy, les décors ne sont pas sublimes, seuls les scènes cinématiques sont à tomber par terre.

    Encore une fois un open world, ne faudrait-il pas arrêter ça et se reconcentrer sur l’histoire d’un jeu sans pour autant être couloir. J’en parcours des opens world mais le seul jeu intéressant jusqu’à présent c’est daying light c’est un léger open world et ça suffit largement à s’amuser et c’est un jeu qui date de 2015 et il vaut encore le coup, on s’y amuse vraiment, c’est un jeu prenant. Franchement il y a des enseignements à tirer sur ce jeu et surtout quand on voit le nombre de joueur qui l’ont parcouru. Ce n’est pas petit mais ce n’est pas gigantesque non plus, une fois qu’on joue on trouve ça grand mais après plusieurs heures, tu te rends compte en fait que c’est un concentré. Si tu n’as jamais joué, il coûte rien, tu as tous les dlc avec, tu vas être bouche bée quand tu vas voir la ville fin le bidon ville d’abord.

    Le débat avec les femmes, je ne dirai rien parce que vous me connaissez et je ne pense pas que du bien.

    Il y a trop de débat autour d’un jeu vidéo de nos jours pour ceci ou pour cela. Les joueurs et joueuses en font vraiment trop. J’estime malheureusement que le jeu vidéo n’aurait pas dû attérir dans la main de tous le monde.

    L’an 2000 a ouvert le chemin a des personnes et personnages qui n’auraient jamais dû voir le jour tant à la tv que sur le net, malheureusement c’est trop tard.

    1. Hello Stéphane !

      J’ai joué à FF XV, et je trouve tout de même qu’il était beaucoup plus joli que Forspoken, pour être franc. Mais c’est vrai que ce n’était pas le jeu le plus beau du monde.

      J’ai fait le premier Dying Light, mais je n’ai pas encore fait le second. J’aimerais y jouer avec mon cousin 🙂

      Pour le reste de ton commentaire, comme tu dis, je pense qu’on a des avis divergents et que les commentaires ne sont probablement pas le meilleur endroit pour un débat 🙂

      Merci pour ton commentaire en tout cas !

  2. Excellent test mon cher Pierre-Yves 👍 J’ai du mal à comprendre cette communauté de gameurs aigris qui s’offusquent pour le moindre truc. Ça me fait penser à la polémique d’Hogwarts Legacy par rapport à l’homophobie mais c’est un autre sujet…

    Je pense que le problème est vraiment profond et ne date pas d’hier. Les gameurs ont sans doute été habitués à des héroïnes hyper féminines, douces et sexualisées. Ça fait pas longtemps que les créateurs de JV osent sortir du schéma « patriarcal » en vrai.

    Moi je pense qu’il faut de tout pour faire un monde. Il n’y a personne qui a raison ou tort, faut juste faire avec c’est comme ça, et le JV est devenu tellement important qu’il sera toujours confronté à des remarques négatives car on ne peut pas satisfaire la terre entière. Y a des gens qui n’aiment pas les machos, les femmes, les gays, les trans, et même des gens qui n’aiment pas les chats 🫣🤣 Que peut on y faire ?

    Pour en revenir à Forspoken, graphiquement le résultat me parait inacceptable. J’adore ce que tu as écrit sur le fait que le jeu a été mal marketé, c’est tout à fait ça ! Franchement ils se sont mis des bâtons dans les roues tout seuls. Mais faut laisser une deuxième chance à ce studio car vu le gameplay il nous a montré qu’il est capable d’innover.

    1. Hello Bruno !

      C’est vrai que le JV a encore du mal à sortir du schéma patriarcal… Je pense que ça vient beaucoup de la jeunesse du média et qu’on a de plus en plus de devs qui expérimentent de nouvelles choses (et j’avoue que ça me ravit).

      Je nourris l’espoir secret que le studio patche le jeu pour qu’il se rapproche un peu plus des trailers d’origine, mais surtout qu’il y ait une suite à ce jeu. Je me suis vraiment éclaté, au final !

  3. Quand les gens parlent de la vulgarité de l’héroïne alors que cela reflète le background du personnage, j’en viens à me demander s’ils comprennent clairement le cadre du jeu de base. Je me demande s’ils se sont aussi interrogés sur la vulgarité de la V féminine de Cybperunk 2077 !

    Le jeu ne me fait pas forcément envie, mais c’est un plaisir de lire ton avis éclairé dessus ! Je vois que les critiques s’accordent sur les mêmes défauts et qualités.

    1. Hello !

      C’est vrai que je ne comprends pas que les critiques soient aussi homogènes du point de vue de la vulgarité de l’héroïne, le début du jeu ne laisse aucun place au doute sur ses origines… Je suppose que pour Cyberpunk, étant donné que l’on a le choix d’incarner un héros ou une héroïne en début de game, les personnes susceptibles de critiquer la vulgarité d’une héroïne ne doivent de toute façon pas incarner un perso féminin. À creuser :p

      Merci pour ton commentaire (=

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